Souffles ton chant
Je l 'entends, je le vois, il pousse son lit de coton, la demoiselle a raison.
Aussi fort que le cri que j'implore, le vent, je l'entends, je le vois, qu'il puisse souffler tout bas.
La lumière perce, pour se poser comme un rêve, la cime qui balance, à la mesure du temps.
L'habillage qu'il portait, était pris dans le passé, elles sont là, à côté, je ne peux les serrer.
Son regard est perdu sans son âme, il prend toutes ses larmes, essuyées, balayées, par ce vent qui a le temps.
S'agenouiller, pour ramasser ces mots qui pleurent.
Regarde le, face à lui, tu le sens, tu le vois pas et pourtant…………il est déjà contre toi …
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