horizon
Sur ce tapis volant au-dessus des ombres humides,
Les paysages lui apparaissaient tel un reflet de son histoire.
De ses envies séparées comme des continents glissant sur la mer,
dans sa maison de nature, sur une Ile de coton,
le courant l'emporte comme la lumière du passé.
Faisant sans cesse le tour, son amarre ne sait plus accoster.
Au détour de ses tourbillons, les âmes espèrent un rêve illusoire.
La porte fermée, ayant perdu la clé, plongée dans ses lettres percées.
Une attente longue aux bulles de passion,
enleva toutes les formes d'images sans les peindre.
D'un tableau transparent, son fleuve s'évapore.
Comme un coucher de soleil qui se noie, sous une brise d'impuissance.
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